Droit de réponse

 Je constate avec plaisir une augmentation subite de la fréquentation de mes pages. Il ne s'agit que des conséquences de "tribolations" à mon égard relayées par l'administrateur du "forum officiel des collectionneurs de sucre" qui mentionnent mes écrits, notamment mes impressions sur la page consacrée à l'Assemblée Générale 2014. Merci.

C'est plus facile de me chercher des poux que rechercher, transmettre et annoncer des nouveautés ou des reprises utiles à motiver les adhérents de l'association. Qu'à celà ne tienne: j'informe.

J'ai aussi bien précisé que puisque mon aide (juste une "mission") pour la mise à jour des catalogues (3C et suivants) a été refusée, je n'envoie plus aucune information.

Cela se traduit par exemple, par seulement 3 emballages sur la mise à jour 2013 d'un fascicule qui devrait être bien vivant et pour lequel j'ai abondamment contribué auparavant. C'est dommage: ce sont les adhérents qui en pâtissent... les mêmes qui acceptent, se taisent, tournent les talons et quittent l'association à raison de 50 chaque année. Les autres ne sont vraiment pas exigeants !

Et souvent, je rouspète.

Bizarrement,au fur et à mesure que je dénonce, que je "chatouille, etc... je vois des choses se faire. Alors quoi ? Les idées, vous ne pouvez pas les avoir seuls ?

C'est comme je dis: peu travaillent et en plus, il(s)-elle(s) viennent "pomper" sur ce site !

 

  1. Tou(te)s celles et ceux qui m'ont demandé le mot de passe permettant de lire mes pages protégées du grand public, ont pu se rendre compte que "le chaudron se moque de la casserole qui aurait le derrière noir".

  2. Pour la centaine d'inscrits à l'époque) sur le forum du site pré-cité...(à peine 30% de l'effectif de l'assoc'), ces interventions contre-productives n'attirent pas plus que les flatteries stériles. Le forum végète. Délation et manipulation sont souvent étroitement liées. En d'autres termes, l'écran de fumée du «Zorro contrefait» masque un besoin infantile d'attentions: c'est pour cela qu'il glapit dans son coin de la vieille Gaulle.

Le gag : au fur et à mesure des départs plus ou moins volontaires des adhérents,  certains "par élimination naturelle" comme disait ma toute première correspondante, le taux d'internautes inscrits sur le forum semble augmenter par rapport au nombre d'adhérents. Que non ! Le ratio devrait intégrer les nombreuses démissions intervenues.

3. Les modérateurs de ce forum, sensibles à ses flatteries, ne respectent même pas les termes de la charte d'utilisation qu'ils ont élaborée: en laissant faire, ils acceptent implicitement avec complaisance, le relais et la publication d'allégations avec toutes les conséquences qui peuvent en découler. L'adage «Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute» prend tout son sens.

Mieux: le forum n'est pas sécurisé.

C'est pourquoi ne souhaitant pas polluer cet espace d'expression collectif, je m'exprime sur mes pages. Je n'y serai pas contrecarrée systématiquement. Il n'est pas, jusqu'à maintenant, possible de me répondre (sauf à me contacter). C'est moins médiatique.

  • De ce côté là, c'est ce qui m'a été appliqué : pas de droit de réponse, pourtant demandé dans les délais légaux, peu de possibilité de défense, etc... Vérités contrefaites, stigmatisation, coalition, etc... C'est dire si exploiter mon silence imposé est pervers !

  • Si ce droit m'avait été accordé, je pense que hormis un compte-rendu d'assemblée générale trafiqué (mais convenu d"avance par la coalition), les choses en seraient restées là. Poussée à me défendre, j'ai bien évidemment découvert les malversations ci-dessous. Dommage !!

J'ai aussi beaucoup apprécié ce «CAP de mécano», sorti de sa caisse à outil pour évoluer dans un monde virtuel, qui joue les philosophes. Bravo pour la reconversion. Pour les explications de texte, il faudrait réhausser un peu le niveau...surtout quand il s'agit de décoder Confucius !

 

Le dernier qualificatif : «mercantile» qui m'est imputé est inapproprié. L'adjectif  "mercantile" est utilisé pour qualifier "une activité économi-que dont le but est d'obtenir un gain d'argent unilatéral". Hors sujet !

Pourtant !!! Ce retraité quincailler reconverti en négociant philatéliste est bien placé pour en connaître la définition.

Pour quelqu'un qui a louvoyé pour valoriser le stock de timbres devenu inerte suite à sa cessation d'activité et qui a soutiré pendant 6 ans pour près de 15000 euros, sur le dos d'une association avec la complicité obligeante de quelques administrateurs, c'est un comble !

 

Mes informations, sous les pages «abritées», sont vérifiables. Récemment, j'ai permis aux services compé-tents de les utiliser. Si le trublion était si certain de ses affirmations, il devrait avoir depuis longtemps entamé la procédure adéquate auprès de la justice pour se faire valoir et "mercantiliser" ses arguments à mon encontre. C'est sans doute plus facile de colporter médisances et accusations, y compris en adressant à plusieurs reprises un multipostage aux adhérents de notre club préféré. En fait, il préfère essaimer le trouble et faire perdurer son plaisir. Jouer la clarté se retournerait contre lui. Il a quand même confié devant témoins en 2012, lors d'une bourse d'échanges dans sa région, qu'il avait ajouté plus de 1500 papiers de sucre anciens dans ses doubles. On dirait que tout n'est pas perdu pour tout le monde et que son enfumage camoufle encore des actions glauques...

Pour moi, c'est fait, argumenté et terminé.

La sanction est tombée sous forme d'un joli redressement. A bon entendeur....

Enfin, pour ce qui est de dire que je ne faisais rien, il ne faudrait pas inverser les rôles !

Mes collègues de bureau sont toujours là pour témoigner que l'importun mégalomane téléphonait sur mon lieu de travail jusqu'à 4 fois chaque jour, quel que soit le motif -forcément urgent-, pour me demander d'oeuvrer (sur mon temps de travail), pour l'association... ce qu'il était bien incapable de faire !!! Son ego est bien trop prédominant. Il faut se référer à la qualité de ses sympathiques édito publiés à partir de mi-2006 dans le trimestriel de l'association. Au moment où j'ai changé de fonctions pour un travail en extérieur, ne pouvant plus assouvir les besoins de ce boulimique, je n'ai plus été "à la hauteur". Les ennuis, accusations etc.... ont commencé. Je n'ai pas démissionné, je n'ai pas fui. Il a juste suffit d'orchestrer collectivement une cabale et m'évincer. C'est sûrement ce qui m'est arrivé de mieux, même si la présomption d'innocence est balayée: tourner les talons et laisser cet abruti et ses complices imbus se débrouiller. Bon vent !