Qui suis-je?

A part ce glycophile qui n'a pas voulu que sa collection parte "à la découpe" et qui m'a cédé une grosse collection en 1994, je n'ai pas l'habitude de trouver des "packs" complets.

Mes recherches sont davantage un travail de... fourmi. (Ces bébêtes aiment le sucre !)


En temps que collectionneuse, je cherche à mon rythme et selon le temps réduit dont je dispose, à compléter ma collection.

Votre aide sympathique sera la bienvenue.

Depuis 1990, j'en ai rencontré des collectionneurs !

Tous m'ont apporté quelque chose qui s'apprécie avec le recul. Quand j'ai commencé à avoir des contacts, il régnait une atmosphère qui faisait de cet environnement particulier de collectionneur un monde bon enfant et serein.

 

Ces glycophiles comme moi, outre cette passion qui nous rapproche, ont majoritairement fait preuve de beaucoup de gentillesse. Je peux dire que j'ai rencontré un bel échantillonnage de la société. Certains m'ont laissé un souvenir vivace :

  •  Ma première correspondante, née en 1904, était ingénieur chimiste à 40 ans. Imaginez, à cette époque et pour une femme, ce parcours extraordinaire avant, pendant et à la fin de la seconde guerre mondiale !  Elle avait un tempérament de battante ! Qui en aurait douté ?
  • Ces couples qui se sont rencontrés autour de cette collection et qui maintenant collectionnent ensemble ! Parfois, leur progéniture prend déjà la relève. Super !
  • Les amis étrangers, pour qui je me suis remise à la pratique des langues étrangères apprises à l'école,
  • Le souvenir d'un oral à un concours (1990, déjà !) : j'avais vraiment hâte de sortir de cet interrogatoire.  A la suite de cette épreuve, j'avais rendez-vous avec un glycophile. Je me focalisais sur cette rencontre..., le temps passait len-te-ment, les questions pleuvaient et pourtant, je me suis classée dans les 10 premiers lauréats ! Il parait que je parle de glycophilie avec passion et conviction. Puisque j'ai du aborder (aussi et donc expliquer) mes loisirs, ce jour là, ce devait être le cas !

Conséquence mais aussi un choix de vie: j'ai choisi de quitter le "pays de la chaussette" pour aller au "pays de la rillette" où la culture glycophile est quasiment inexistante, pas intéressante puisque pas "mercantile".

Pour avoir été battue au cours de mon enfance, une chose est sûre: j'adore les chiens et chats ... même les "cabots" ! ... qui me le rendent bien. Avec les animaux, on n'est jamais déçu: ils savent être reconnaissants. Comme il faut bien vivre quelque part, j'ai quitté nid familial et région, perdu famille et quelques relations en route et trouvé d'autres attaches.

  • Certaines de ces connaissances ont des fonctions importantes ou à risques et pourtant comme tous ceux que j'ai connu et apprécié, ils sont d'une grande simplicité. C'est d'ailleurs leurs qualités humaines que je mets en premier, pour cette gentillesse, leur savoir-être et le plaisir de se rencontrer.
  • Bien entendu, au cours de ces rencontres propices aux échanges, de grands moments de simple conversation m'ont confirmés que les personnes que j'apprécie et respecte sont toujours guidées par la simplicité et la modestie et que c'est de ce bois là que les grands personnages sont faits.

Et moi, au milieu de tout cela ?

Une "douce dingue" (comme se le disent les glycophiles) inoffensive -jusqu'à un certain point: j'ai appris à me défendre-.

Je refuse d'être "sucrée" (je ne sais pas faire) et je suis bien trop spontanée pour être "mielleuse" ou affabulatrice.

Ceux qui me connaissent m'aiment ou ne m'aiment pas. Je sais qu'au moins, je ne laisse pas mon entourage indifférent !

Maintenant que j'ai bien remercié mes bienfaiteurs du passé, je pense à ceux de l'avenir.

Je continue aussi mes recherches sucrées : c'est à dire TOUT ce qui sert de produit sucrant avec un papier autour, sans critère de "beauté" ... à conditon toutefois qu'on ne me donne pas de la "dentelle" dépiautée. Mais aussi, tous ces objets qui gravitent autour du thème du sucre et dont vous pouvez avoir un aperçu en tournant les pages de ce site. Vaste thème ...

 

Quelques devises qui me plaisent bien....

J'aime aussi beaucoup les lois de Murphy... qui se vérifient selon les jours.

 

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Parce que le monde glycophile dépasse le bon sens pour certains, je vous emmène en voyage au pays de la nostalgie shadoks. Un peu de folie... A y réfléchir, le second degré n'est pas mal non plus....

 

Le 29 avril 1968, de drôles d’oiseaux apparaissaient pour la première fois sur les écrans. Leur principale préoccupation était de fuir une planète multiforme en inventant un tas de trucs qui ne fonctionnaient jamais. Et ils pompaient, pompaient... Après deux minutes d'émission, ils disparaissaient dans un grand fracas de verre pilé, comme s'ils avaient pulvérisé l'écran.

C'est ainsi que les Shadoks firent leur entrée dans le paysage audiovisuel français, pour être interdits d'antenne treize jours plus tard, alors que le quartier Latin était à feu et à sang et le pays paralysé par une grève générale.

 

 

Qu'on ne s'y trompe pas !
Il ne s'agit pas de la folie des grandeurs, mais d'un clin d'oeil à l'histoire et à la géographie....
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