L'hypocrisie

Merci !!!!

Oui, un simple mais énorme merci aux AMIS qui ont formé une chaîne de solidarité autour de moi ces jours ci; Ils se reconnaitront.

Grâce à eux, j'ai eu vent du projet peu glorieux de certains, sans préavis, qui n'osent même pas avancer à découvert, sachant que je ne peux avoir l'information via le journal associatif que l'on me refuse.

Cette petite publicité agitera un temps les moteurs de recherches. C'est aussi m'accorder une audience très certainement bien supérieure à la réalité.

Depuis plusieurs années, parmi ces gens, beaucoup sont devenus indésirables dans mes messageries.

Cette façon d'avoir la paix vaut ce qu'elle vaut. Laisser uriner le mérinos... a ses avantages indolores.

Pour en savoir plus, demandez moi le mot de passe. Accédez aux zones protégées.

09/10/2015

Un monde de "bisounours" ?

... depuis le temps que je disais que mon courrier ne se perd pas, certains pisse-vinaigre ont eu l'idée de m'imputer publiquement la réception de "trois gros cartons" (au-moins XXXL) envoyés en recommandé contre signature. Des accusations colportées  encore plus de 7 ans après (que j'en ai découvert le point de départ parce qu'avant ???), et où l'on m'a refusé le droit de réponse légal, puisqu'il y a eu une mention où il est impossible de ne pas me reconnaître dans le trimestriel de l'association. Entre-temps, une bonne âme m'a remis une copie des documents agités en public "valant preuve" -sans ma signature- qui m'ont renseigné sur ces ladreries. De source sûre, le même principe d'agitation de documents, a été employé avant de demander un vote en faveur de mon exclusion.

Soyons sérieux ! Quel intérêt à kidnapper des colis postaux -("des gros": c'est ce qui a été dit)- qui auraient nécessité ma signature- quand je dois m'occuper de ceux-là ?

 

Complot

Certains voulaient libérer une place que j'obstruais: secrétaire. Formée à la législation associative, j'avais occupé auparavant les mêmes fonctions pour une association de services comptant 3250 adhérents. Paradoxalement, j'y avais beaucoup moins de travail.

L'accusateur initial (le quincailler-négociant philatéliste banni des structures philatéliques françaises) avait un Papa sous-lieutenant (on dit major, maintenant) de police (Mon père, ce héros...). Ainsi, ses qualités, ses talents d'enquêteur seraient "génétiquement incontestables". Il serait investi d'un devoir de justice, de prophétie.... Néanmoins, il a du répondre de ses petites activités auprès d'organismes compétents. Tout ça pour ça, ... !!

Pour ce que je sais, un ou des objet(s) envoyé(s) en "recommandé contre signature", nécessite(nt) un visa. Justifiez ! Justifiez (sans bricolage svp), si distribution il y a réellement eu à mon adresse, que j'ai reçu ces objets.

J'ai AUSSI enquêté auprès de la Poste. La  réponse est diamétralement opposée à ce qui a été jeté en pâture. Bizarre, lorsque plusieurs personnes habitent à une même adresse, que chacun finisse par soupçonner l'autre d'avoir dissimulé des objets sensés être reçus, assez volumineux pour ne pas passer inaperçus ?

Pour ce motif, je suis dénigrée publiquement, sournoisement dans des proportions inimaginables régulièrement depuis 2009.  J'ai droit à un traitement sur-mesure, discriminant: condamnée sans présomption d'innocence par ces lépreux, puisque virée et insultée publiquement. Des courriers de délation ont été envoyés à plusieurs reprises sous forme de circulaire aux adhérents par ce "justicier". Bien évidemment, les compte-rendus de réunions ont été aménagés ou occultés pour corroborer les allégations. De même, mon droit de réponse a été refusé. C'est ça, le pouvoir lié à une présidence...

C'est pour "amuser les coccinelles", causer un préjudice, pour "mousser" et servir un/des ego ? C'est pathologique ? Peu m'importe, je dors sur mes deux oreilles en attendant sereinement que soient justifiées ces sornettes. Eh oui !

Alors ne vous étonnez pas que je rende coup pour coup aux attaques dont je suis l'objet. Trop facile de dire que c'est un problème "entre personnes", puisque tout administrateur est viré quand il a compris beaucoup de choses mais qu'il tarde trop à comprendre qu'il devient gênant ou qu'il n'est pas bienvenu dans la "coopérative".  (l'histoire s'est répétée).

Actuellement, la cooptation refait surface me rappelant ce livre préfacé ainsi: "Cette famille s'entend bien: elle n'a pas hérité". J'espère que malgré tout une once d'intelligence et de clarté jaillira. Maintenant je dis : ils héritent en indivision avec une clause de solidarité ou l'omerta continue de régner. Une répartition adroite de trésors de guerre est la seule explication au doublement de la collection du premier collectionneur de ce groupe.

Pour ce qui me concerne, tout est bien noté, bien rangé, nominativement.

Lorsque l'addition sera faite, ce sera juste  plus cher et je ne serai pas seule.

 

"Je ne perds jamais. Soit je gagne , soit j'apprends."  (Nelson Mandela)            Moi aussi !

 

Depuis que je ne suis plus abonnée au trimestriel je reste à niveau. Alors vous croyez que j'ai besoin d'être embrigadée ? Ce journal, attendu comme un lien pour les plus âgés, que l'on me montre à l'occasion, ne donne pas envie. La naissance de chaque nouveau numéro dans les délais transparaît comme une corvée assortie du vœu permanent d'en réduire la périodicité. C'est fait ! Avec un petit bonus : une augmentation de fait de 30% du prix au numéro où, démocratie incommodante oblige, "ils" se sont allègrement dispensés de demander l'avis préalable de l'Assemblée générale. Je me passe volontiers des états d'âmes et du "je-me-raconte", qui jalonnent au-moins les premières pages.

 Je continue donc de mon côté et des nouveautés non publiées, j'en ai !

Je sais déjà que d'autres vont  partir de leur propre gré, insatisfaits, déçus, atterrés, sans compter ceux qui estiment qu'ils sont laissés sur le bords de la route mais que vous ne perdez pas de vue parce qu'une récupération de leur collection est possible .

Je suis pliée de rire quand je lis qu'attirer de nouveaux adhérents passerait par les réseaux sociaux que vous avez tant dénigrés, "parce qu'on est capables de faire notre promotion nous mêmes". Vous oubliez juste le principal !!

 

 Des collections feront aussi de bon gros feux de joie au fond du jardin (ou, comme cela m'a été répété, accompagneront leur propriétaire lors de sa crémation - c'est toujours mieux d'avoir de quoi lire avec soi -.

Même si mes jours ne sont pas encore comptés, la mienne est placée, par anticipation. Merci à ..... de l'avoir acceptée. Entre-temps,  je la complète.

Ne vous fatiguez donc pas à démarcher pour mettre la main dessus.

 

(*) (Comprenez les administrateurs en place depuis plus de 15 ans)

  • 1ère discrimination globale celle-ci et à cotisation identique, quand même !: les gestionnaires ont choisi de favoriser le tout internet au détriment du journal trimestriel. Les non-internautes (vu la moyenne d'âge, il en reste), doivent attendre de recevoir le journal quand la majorité peut s'informer en temps réel. Quelle loi oblige à être relié impérativement au Net ? Motivation de l'époque: "c'est préférable de servir 80% des adhérents internautes plutôt que les 20% qui ne le sont pas."   Révoltant ! Parce que souvent les non-internautes sont les plus âgés et que leur attachement au journal "papier", à l'heure du numérique, pourrait rendre leur abonnement plus cher si la dématérialisation se faisait (plus facile, plus rapide, sans efforts et moins coûteuse). Pourtant, je ne suis pas concernée mais je dénonce régulièrement cette décision inégalitaire et pénalisante qui laisse les plus faibles de côté.
  • Et si la promesse était tenue d'avoir les mêmes informations sur le Net et en version papier. Mais non, même pas.
  • Que dire aussi des sempiternels retards de publication et/ou d'acheminement. Ne parlons pas de la mise sous enveloppe: à peine 150 enveloppes à constituer, quatre fois par an (trois fois maintenant), ce n'est pas l'affaire du siècle. Pourtant, là encore, les internautes ont la faculté de consulter leur trimestriel devenu quadrimestriel favori sur la toile pendant que les autres attendent le passage du facteur. "Anne, ma soeur Anne, ne vois tu rien venir ...?"

Parce que j'ose m'exprimer, des administrateurs me stigmatisent, me "discriminent". Exemples:

  • En 2009, certains (*) ont fait voter mon éviction de mes fonctions d'administratrice. C'est certainement la seule dernière bonne action qu'ils ont inconsciemment réalisée, me soulageant de la pression due au cumul travail/bénévolat et des appels quotidiens sur mon lieu de travail, d'un Président (de l'époque) fort en gueule mais juste apte au "faire faire". Lorsque j'ai changé de travail, j'étais beaucoup moins joignable, moins corvéable par la même occasion.... donc bonne à dégager. Mais il a fallu rendre tout cela plausible, d'où un savant montage...: le complot.
  • La méthode, discutable, de ma pseudo-démission est telle qu'elle est relayée dans le PV de l'assemblée générale, ce qui implique que cette rumeur a été discutée (selon le terme juridique) "publiquement et en réunion", puis publiée, à travers le PV, dans le journal destiné aux 99.99% d'adhérents abonnés. Mieux vaut rire de ce manque de discernement autant que de l'éloignement du contexte juridique dont le Président-Directeur de publication ne s'alarme pas. Concernant ce pantin (*), (mais pas que...), j'ai préféré utiliser un autre canal qui s'est révélé TRES efficace qui n'appelle pas aux vantardises alors que j'aurais pu me faire un joli "magot" en me constituant partie civile auprès du procureur de la République. Mais je n'ai pas voulu que les finances du club continuent d'être impactées par le mélange des genres entre les comptes associatifs et les intérêts privés.
  • Depuis cette même année (comme c'est bizarre !), certains (*) ont fait circuler une rumeur. Si forts que soient ces accusateurs, aucun n'a eu les attributs (vous voyez ce que je veux dire....) pour ester, faute de preuves. Dès lors, qui n'est pas condamné(e) par voie de justice est innocent(e) et le reste.
  • Les ragots, toujours véhiculés par quelques glycophiles confits à force d''être doucereux, ne sont que diffamation, machination et malveillance.
  • Lors de l'assemblée générale, "les adhérents qui confient leur pouvoir, recevront un lot "xxxx"". Ce n'est pas le cas pour moi. Pourquoi ? Parce que c'est eux, parce que c'est moi.... mais encore: parce qu'il faut faire un envoi spécifique car j'ai choisi de ne pas m'abonner au journal et que le "xxxx" est justement inséré dans ce trimestriel... et envoyé par l'équipe(*) qui a tout fomenté pour m'évincer et me discréditer.  Alors, oui, ça, quand il faut réfléchir, c'est TRES compliqué.

Surtout, parce qu'une simple administratrice(*) au manque d'envergure évident, une pécore frustrée, radine et assistée, une pauvre fille fatiguée dès qu'elle excède 1 heure de travail par mois pour le club, décrète avec sa cervelle étriquée "pas de sarkara, pas de série"!! Il ne s'agit évidemment pas des papiers éculés, très sélectionnés, triés selon le destinataire, qui accompagnent systématiquement l'envoi du journal. (en effet, certains reçoivent des papiers déchirés, souillés, juste bons pour la poubelle, marquant ainsi le désaccord et le mépris que certains "pois chiches" leur manifestent)

  • L'autre solution consiste à me le remettre lors d'une rencontre en cours d'année. Oui mais :
  • Lors des rencontres de trocs, la consigne entre ces mêmes administrateurs, est de m'ignorer. Même pas la politesse d'un simple bonjour... lointain.
  • Mieux : il y a quelques mois, en guise d'accueil, M. le Président, pourtant garant de la communication, de la déontologie et du respect des statuts et qui dit "aimer tout le monde", m'a asséné un "ne nous les casse pas" en guise d'accueil, tandis qu'une aide, même pas adhérente, balançait le paquet d'accueil réservé  à chaque participant dans ma direction.

Paix à son âme.. mais pourquoi certains ont eu la lumineuse idée de créer une cagnotte en ligne pour sa veuve ? Du jamais vu, cette unique incursion dans la vie privée !

Serait-ce que le but de cette association est de choisir ses adhérents comme le ferait une secte ?

Vous êtes "petits"... méprisants, méprisables et perfectibles. Un jour, avec l'avantage de vos technologies préférées, vos comportements larvés seront sur la toile en temps réel. En attendant, je conserve tout. Comme dit un spéculateur, "ça peut toujours servir". Souvenez vous qu'un dossier n'est jamais clos et qu'il a tendance à s'empâter.

Vous récoltez ce que vous semez: les adhérents lésés ou fatigués tournent les talons. Ils ont compris qu'ils ne peuvent plus s'exprimer, n'assistent plus à l'AG pour l'AG mais pour rencontrer les connaissances avec qui des liens se sont tissés, ne participent plus à la vie de ce club et ce n'est pour autant qu'ils lèguent leur collection. Comme ils ont raison !

La base et les statuts de l'association "se rassembler, communiquer, échanger..." sont si éloignés de la réalité, sauf à se demander sur quoi on échange et surtout, sur quoi on rassemble. Comme disait une adhérente lors de l'AG 2020: "voter, ça ne sert à rien puisqu' avec les mêmes,  rien ne va changer" !

 

"Ils"(*) ont tout cassé ! Pour ces (ir)responsables(*), gérer une association, c'est s'intéresser à la partie  financière. C'est surtout gérer les dons de collections des adhérents qui stoppent ou décèdent. Et pour cela, le génie inventif ne manque pas pour soudoyer la famille d'un(e) défunt(e). (C'est du vécu !)

La communication écrite ou virtuelle, les tâches obligatoires qui font avancer la machine sont déléguées à quelques bénévoles besogneux(ses). Le recrutement n'est pas une préoccupation. Ne demandez pas quels sont les projets : on croirait qu'il ne s'agit que d'éponger chaque année la réserve jusqu'à extinction du club ou de refondre les catalogues existants pour les colorier.... Pour le reste: aucune perspective si ce n'est de plus en plus de répression, de verrouillage impropre à l'encouragement vers de nouvelles adhésions pérennes.

Si en soi ce ne sont que des foutaises, chacun peut comprendre que depuis 2009, de telles réactions finissent par crisper. Faudrait-il que, depuis tout ce temps,  je digère ces bassesses répétées sans broncher ? Que je renonce à mon hobby ou mieux: que je quitte ce club ? C'est dire si ce monde est sucré... Eh bien c'est fait.

On nous rebat les oreilles de mises à jour en couleurs de fascicules regroupant des emballages de sucres français des années 50-60-70....

Faire du coloriage, c'est facile.

Il parait même qu'il faut savoir se servir d'un scanner. Là, j'en ai mal au ventre de rire !!!

Classer à partir de la norme adéquate semble aussi bien compliqué.... Sans parler de simplement recopier correctement les noms des emballages. Pourtant, c'est cela qui met tout le monde d'accord mais qui nécessite plus que la bonne volonté et surtout des vérifications, des relecteurs "affûtés".

On voit bien qu'une "gestion" au gré du vent, sans stratégie ni pédagogie autre que ce que j'ai déjà dit et répété, favorise l'étiolement.....

Il serait évidemment bienvenu que des jeunes et autre sang neuf rejoignent les rangs....

Encore faut-il les attirer ! Encore faut-il ne pas vivre en autarcie. Puisque la "toile" est un vecteur formidable, il serait bon d'avoir des communicants qui communiquent, des décideurs glycophiles qui connaissent leur sujet, le partagent. Au lieu de cela, l'autisme s'installe (je précise que ce n'est pas insulter pour les gens qui en souffrent . Il parait qu'il ne faut pas parler de maladies pour éviter de fâcher celles ou ceux qui sont dans le déni).

 Et alors ????

J'allais oublier le côté ridicule d'un petit collectionneur qui se croit important, tout heureux de se faire photographier en parlant des 8000 sucres et emballages qu'il a réussi à mettre dans son escarcelle et se frotte le bedon après 35 ans de récolte de sucres enveloppés. C'est bien, continue. Tu as des pistes de progrès toutes trouvées....

Vous connaissez beaucoup de jeunes, de débutants qui ont pléthore d'emballages ou de sucres entiers anciens (avant 1980) ???

Des jeunes qui ne seraient pas découragés par des visuels alléchants, certes, mais pour la plupart inaccessibles pour eux 

Déjà les plus "matures", dont la collection est constituée,  ont du mal à l'étoffer, alors pour quelqu'un qui découvre la glycophilie, c'est un vrai mythe !

Pour ceux qui ne sont pas encore partis, trouvez vous normal que les informations doivent se deviner comme si quand certains "savent", il leur parait automatique que l'information se diffuse sans qu'il n'y ait rien d'autre à faire ?

La télépathie désigne un hypothétique échange d'informations entre des personnes n'impliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue.

On savait déjà que le dosage des efforts désintéressés est une quasi-religion chez certains. INCOMPATIBLE !!!

La gestion d'une association, l'information, c'est du travail quotidien, en premier pour celles et ceux qui sont en place. Que déjà, chacun.e ait quelque chose à faire et que celles et ceux qui en ont trop ne se cramponnent pas à cette forme de petit pouvoir. (J'en ai trop mais je ne partage pas parce qu'un jour je n'aurai plus de reconnaissance sociale si je ne suis pas incontournable). C'est bien cela ?

La communication descendante suscite l'information montante. En ces de rétention, de blocage ou d'entraves, c'est connu, prouvé: il se crée des circuits parallèles et des refus "de priorité".

 

"Pommade" pour les dons de collections, profits, embrouilles: activités de fossoyeur.

Le "pommadeur de petites vieilles", (ces "Tantes à héritage", disait Maman), ne supporte pas tout ce que je sais. Des documents en ma possession témoignent de ses activités glauques. Principal relayeur ou pourfendeur de calomnies, pour soutenir son clan en difficulté...., chez "le coucou", rien ne se perd, rien ne se refuse (au contraire !) et surtout tout finit toujours par se transformer pour "rapporter".

C'est tellement vrai que depuis 2014, le voilà opportunément "responsable des contacts UNIQUEMENT pour la "gestion" des dons de collections" au club. On croit rêver !! C'est ainsi qu'en surfant sur Internet, on trouve des choses .... Mais à la façon des poulpes, il trouve toujours le moyen d'aveugler les curieux avec son "encre" et détourner l'attention....

Et ce n'est pas pour me rassurer : je ne suis pas la seule !!!

Le "coucou" mielleux est toujours prêt à faire davantage briller sa lumière en éteignant celle des autres. Fâcheuse technique qui dissimule les complexes, les lacunes et la paresse de ce "distillateur".

Entendez bien : QUI depuis son élection en tant qu'administrateur, il y a déjà pratiquement 25 ans, n'a RIEN construit ? Ca ne s'invente pas: les compte-rendus témoignent de son inertie ! Refusant avec persistance toute initiative, toute responsabilité et toute implication dans la gestion, il n'a jamais participé à quoi que ce soit pour la vie du club, n'a jamais assuré la moindre mission d'administration. Du fait de la structure géographique de cette association nationale, les administrateurs traitent les questions courantes par  courriels. Ignorant en permanence les messages liés à la vie de ce Conseil, après maintes relances pour obtenir un avis il finissait par dire "je n'ai pas répondu parce que je suis d'accord avec ce qu'untel(s) a(ont) dit". Parfois c'était: "je n'ai pas été questionné". Lors des réunions de Conseil d'administration, le plus compliqué était d'attendre l'heure de la fin... quand il assistait !

Son monde est ailleurs. Elu pour servir son intérêt personnel: un embrouilleur belliqueux, incapable de réagir sereinement quand il sort de sa léthargie. S'il trouve un interlocuteur besogneux, capable et plus valeureux (ça, c'est facile !), il le considèrera comme un agresseur. S'il ne peut le mettre à terre, il le souillera. Si besoin, il l'évincera, servant d'abord ses priorités et enfin, si la vie de l'association y est mêlée, il niera, se victimisera et surtout, n'assumera que ce qui est à sa mesure : RIEN !!!

Chaque réunion annuelle en Picardie lui "rapporte", selon ses dires entre 70 et 100 € (avant la crise). C'est la marge prélevée pour ses "frais", sur les plateaux repas, le café, le kir d'accueil, les ingrédients des fameuses "gaufrettes". Pendant qu'on y est, pourquoi pas sur le sucre ou l'eau chaude versée dans la tasse ? Rien n'est perdu. Tout ce qui parait offert est transformé en petit pourcentage. C'est là l'intérêt d'avoir une fréquentation massive et "conviviale" (X visiteurs x sa marge = petite tirelire). Je ne veux plus participer.

Félicitations à ceux qui ont un moment co-organisé cette rencontre (et rattrapé des "boulettes") de s'être retiré de ce marécage.

Pour partager ou "noyer" sa cupidité, il incite  les autres organisateurs de réunions (sous couvert de son mandat de représentant de  l'association - eh oui ! là, il bouge et utilise un titre honorifique !-) à justifier d'une dépense à hauteur du forfait maximum alloué (70 euros), quitte à ce que ces achats aient une destination personnelle (cartouches d'encre, timbres etc....). Ainsi, faire payer par le club le paquet de café et les sachets de thé offerts (l'hospitalité, ça existe encore chez les gens éduqués !), faire refacturer par le gestionnaire de la salle, le balayage, là où les bénévoles ont pu à un moment ou un autre, participer pour restituer les salles propres (parce que lui ne veut pas transpirer ! En tous cas, pas pour les efforts physiques..) lui permet aussi de fondre ses dépenses dans la moyenne et de mieux dissimuler l'exagération de ses dépenses. Belle conception du tissu associatif !!

Mettre à jour, en couleur et par ordre alphabétique, les emballages des fascicules existants, n'est PAS l'exclusivité d'un administrateur, même inoccupé. Plusieurs auteurs n'ont jamais été administrateurs. Son pseudo-dévouement (uniquement pour les emballages anciens, ceux dont la contrepartie peut être significative) lui permet de faire tourner sa petite entreprise :

  • Étaler l'inventaire de sa collection,
  • Bénéficier d'informations et réaliser ses échanges en priorité,
  • Exister !,
  • Se faire flatter,
  • Alimenter ses albums sucrés : pas une seule collection d'anciens glycophiles achalandés de sa région (élargie jusqu'à l'ouest de Paris) n'a résisté aux avances et manipulations. Dès lors que vous êtes âgé, vous pourrez devenir intéressant... (dixit une adhérente concernée) Le club vieillit, les adhérents fuient, donc le périmètre s'élargit ! Surtout, n'allez pas croire que les dons sont toujours spontanés: certains après décès ont été très rapidement sollicités. J'ai les témoins à disposition.
  • Faire financer par l'association les cartouches (noire et couleur) de son imprimante (+ de 100 €  pièce) une à deux fois par an (j'ai aussi été vérificatrice aux comptes).

Pourquoi y a t-il besoin de tant imprimer, surtout à notre époque ??? J'ai aussi créé des catalogues: je parle en connaissance de cause. La liste de ce qui est remboursable ou pas est devenue bien extensible: auparavant, les dépenses somptuaires étaient biffées pour être conformes à une liste votée en conseil d'administration et le total était rectifié.  Monsieur prend ses aises avec l'argent des adhérents ! On ne peut en aucun cas douter de ses efforts quand il s'agit de tester son aptitude au calcul ou bien... il est aidé. C'est peut-être pour cela que certains administrateurs s'élèvent avec une vigueur directement opposée à leur activité pour le club... contre les différents cadrages (législatifs, internes etc..). Au final, est-ce que ce libéralisme empêche les adhérents de fuir ?

Il y a quelques années, à sa demande, le conseil d'administration a autorisé (voté) un don (versé au profit du centre d'action sociale) de cette commune au demeurant bien généreuse, afin de compenser les dépenses de chauffage pour la salle prêtée gracieusement depuis 10 ans lors du rassemblement picard. Nous avions tous apprécié de pouvoir nous réchauffer pour échanger. L'année suivante, la même demande a été émise pour le même montant... POUR UNE SEULE ANNEE ! (L'édile était un "copain" à choyer.)