Avis sur les catalogues des nominatifs étrangers distribués en France

La conception de ces catalogues était perfectible en excluant des emballages de pays francophones (Belgique, Suisse, Maroc, Ile Maurice etc.....) qui ont été référencés dès lors que le mot "sucre" apparaissait sur le cliché, dont pour les plus éloignés, il est quasiment sûr qu'ils ne sont pas distribués en France.

 

Il aurait fallu :

  • que le directeur de publication de l'époque de la parution initiale  soit compétent pour vérifier (ou faire avaliser) le projet autrement qu'en regardant la joliesse des pages, qu'il soit davantage impliqué dans la cohésion d'une structure que ... par ses intérêts ou sa "carte de visite" et assure une "gouvernance pacifique et fédératrice".
  • que l'auteur ait été guidé, (dès le début) avant et pendant la conception de son ouvrage et accepte ensuite de gérer les corrections qui lui ont été proposées, pour ne pas aboutir à un "pavé-fourre-tout" malgré un travail énorme.
  • que les corrections qui ont été signalées et dont on me dit qu'elles ont été prises en compte soient diffusées (soit la(les) page(s), soit une synthèse) aux premiers acquéreurs -dont ceux qui ont signalé des anomalies-. Or, seuls les acquisitions ultérieures diffusent les corrections.

 

  1. Je trouve désolant que des emballages d'autres catalogues (n°11, 12, 12a, 14, 24....) se trouvent intégrés, au fil des mises à jour. C'est nier le travail de leurs auteurs (ou bien c'est... ne pas posséder ces catalogues). En tant que co-auteure du catalogue 14 et auteure du 24, j'ai fait l'effort de vérifier mes informations et j'assure que ce qui y est recensé a bien été fabriqué par cette entreprise marseillaise, même quand entre deux périodes ou à la demande du client, le logo est absent. Ce n'était pas la peine de ré-inclure ces emballages ailleurs. 
  2. Par conséquent, les doublons (sans renvoi) entre parties de catalogues embrouillent les utilisateurs et allongent les listes de recherches.
  3. Je déplore que des recoupements n'aient pas été réalisés pour fiabiliser les informations. Exemple: dans la mise à jour 2012, une même bûchette, élément d'une suite numérotée, apparaît plusieurs fois, numérotée de 1 à 10,  sous des références différentes parce que cette suite est composée pour une part de 3 sticks d'une couleur, puis 3 d'une autre couleur et enfin, pour les 4 derniers n° d'une troisième couleur. Il existe 3 ou 4 séries différentes de cette marque sous cette formule ! Malheureusement, le rendu dans le catalogue ne les fait pas apparaître sous la forme où la suite a été conçue.
  4. Je regrette que la palette de couleurs indiquée soit si étriquée (ex: rouge au lieu de bordeaux; brun au lieu d'ocre... etc)
  5. Je trouve dommage de ne pas avoir condensé un même emballage en indiquant seulement sous un seul cliché, des références différentes:
    1. des combinaisons de couleurs différentes, 
    2. pour chaque mode de fermetures (quadrillé droit, ligné, gaufré), 
    3. les indications des n° à droite et à gauche.

 Cela aurait allégé l'ensemble, facilité les recherches ou les ajouts, évité des manipulations, le gaspillage de pages inutiles.... (donc aussi des économies)

 

... et qu'on arrête de dire : "ça a le mérite d'exister".

 

Le contrôle du projet et du résultat

Il y a (eu) des élus dans ce club qui ont (eu) la charge d'organiser et de suivre le fonctionnement et les documents produits. Je sais que ces élus ne sont pas nombreux et je sais ce que c'est: j'ai contribué ! (Avec le recul, je me demande comment je faisais.)

Aussi, l'incompétence d'un ex-présient-directeur de publication amène à ce résultat discutable: avoir oublié que les catalogues devaient AUSSI lui faire retrousser les manches, même si c'est un travail de l'ombre !

Donc, pour cela, qu'y a t-il de compliqué à recevoir bien en amont de la publication, le projet du fascicule ou de sa mise à jour pour l'examiner, recouper les informations et faire rectifier ? J'irais presque jusqu'à dire que la diversité de cette structure réside aussi dans la spécialisation de certains (les bûchettes pour une, une marque précise ou un thème pour d'autres, etc...)

En cas de doute, mieux vaut interroger le collectif des utilisateurs (puisqu'un forum existe et qu'il serait plus intelligent d'en focaliser l'usage sur ce type de sujet que sur les opinions personnelles d'un belliqueux) ou au pire différer la diffusion de l'information rendue fiable plutôt que persister sur des anomalies. Cela ne concernera que quelques emballages.

Une bonne volonté crée un projet de catalogue, se polarise sur son axe de travail et s'en satisfait. Remettre en question est plus périlleux. C'est humain.

- Peut-être serait-il plus sage de travailler en "polynôme" afin d'exercer un contrôle permanent ? C'était d'ailleurs le cas pour le catalogue 14.

- Pourquoi ne pas mettre à contribution les "locaux" qui connaissent peut-être plus les emballages nominatifs de leur région ?

Un coup de gueule ou des souhaits ?

J'espère seulement que les catalogues initiés par J. C. (15 + 17 + 22) garderont leur crédibilité à l'avenir.

 

C'est dommage de confondre bonne volonté et compétence, comme je crois inutile de clamer le don d'une heure de travail par semaine pour un nombriliste, quand c'est une minimum au quotidien qui est nécessaire quasiment pour chaque élu pour le "bon-vivre" de toute la structure. Parce qu'il faut aussi le dire: il y en a qui NE FONT RIEN, qui se brossent le ventre, qui "émargent" à l'envoi de factures même si celles-ci ne reflètent pas leur activité !! La trésorerie ne serait-elle qu'une chambre d'enregistrement ? On a connu plus sérieux ... avec moins de "copinage"!!! La compétence en matière de "placements" ne fait pas tout et ce n'est pas le but d'une association..

En contrepartie, ceux qui travaillent réellement ne le font pas remarquer. Ils utilisent même parfois leurs deniers sans contrepartie. Certes, ils sont peu nombreux (30% environ).