Les plantes sucrières

De la plante au sucre (Cultures sucre précédemment dénommé CEDUS)

 

Les principales plantes sucrières : (Cultures sucre précédemment dénommé CEDUS)

Des chiffres et des questions/réponses)

PDF] PREMIERE PARTIE La betterave - LaBetterave.com www.labetterave.com/getFile.aspx?FILEID=491
Un ".pdf" très intéressant de 75 pages (!) sur la betterave, la canne etc... Dommage: il commence à dater (2003).

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www.labetterave.com/getFile.aspx?FILEID=491

La culture de la betterave sucrière a commencé seulement à la fin du XVIIIe ...... les chiffres de la Sarthe s'expliquent par la fermeture de l'usine de Mamers et ...
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La filière sucre (sucre info - une foule d'infos)

 

L'organisation commune du marché du sucre dans la filière sucre (source Cultures sucre précédemment dénommé CEDUS)

Présentation de la filière (La Réunion)

La France dans le monde sucrier

 

les vidéos

 

 

Le sucre de betterave sort naturellement blanc du process d'extraction.

Le sucre de canne cristallise avec une coloration qui va du blond au brun.

Le sucre blanc de betterave n'est donc pas raffiné.

Le principe même de l'extraction du sucre "qu'il soit de canne, de betterave ou d'autres sources" est d'isoler le saccharose en éliminant les composants résiduels de la plante. Plus le sucre est blanc, plus il est raffiné : plus il est d'un roux foncé, plus il contient de résidus de la plante.

Les résidus d'extraction ou de raffinage jusqu'à la mélasse, sont parfois recherchés pour des préparations particulières.

Le sucre blanc est souvent indispensable à certaines préparations délicates.

Le sucre roux donne des arômes secondaires également très appréciés. Pas totalement raffiné, les impuretés (sels minéraux) qu'il conserve lui donnent sa couleur. S'il est issu de la canne à sucre, il porte le nom de "cassonade"; s'il provient de la betterave, il s'appelle "vergeoise".

Aujourd'hui, malgré les polémiques diététiques, sucre de canne et sucre de betterave se côtoient sur nos tables, mais le sucre de betterave semble plus employé pour la confection des desserts sucrés.  Question de goût!

En Côte d'Ivoire :

 

Du bon usage des matières premières

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Hévéa, palmier et sucre : un tiercé gagnant

14/04/2010 à 11h:57 Par Pascal Airault
 

.......   Modernisation sous tension pour les sucreries

« Nos performances peuvent être sensiblement améliorées, explique Patrick Olivier Daipo, secrétaire général de Sucrivoire. Le coût de revient d’une tonne de sucre ivoirien est de 580 dollars, soit près du double de celui des Brésiliens. » Les deux opérateurs nationaux, Sucaf (groupe Castel) et Sucrivoire (groupe Sifca), produisent chacun 95 000 t de sucre roux raffiné par an. Dotés d’un outil de production datant de la fin des années 1970, leur priorité est de réhabiliter leurs usines afin d’augmenter les capacités de production et d’atteindre une taille suffisante pour s’imposer sur le marché régional. Dans les pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (U E M O A),  la consommation est de 775 000 t pour une capacité de production régionale de seulement 414 000 t. L’objectif des industriels ivoiriens était de produire environ 225 000 t d’ici à 2015.

Pas facile, toutefois, de monter en puissance, alors que leurs unités de production se trou-vent dans le nord du pays, en zone contrôlée par les Forces nouvelles (FN), qui orchestrent l’entrée illégale de sucre via le Burkina. Sucaf et Sucrivoire ont cependant obtenu de l’État qu’il interdise les importations, ce qui est effectif dans le sud du pays, où ils fournissent donc les industries agroalimentaires, notamment Nestlé, SN Chocodi et Solibra.